Les vieux ont une espérance de vie très limitée

D’après une étude menée par des scientifiques américains, l’espérance de vie des anciens n’a pas évolué car ceux-ci ne peuvent plus dépasser leur limite de vieillissement.

Malgré les recherches effectuées par les scientifiques du monde sur les limites biologiques l’espérance de vie n’augmente pas toujours.

L’étude réalisée à partir des données internationale de la longévité portant sur la démographie et publiée dans le journal « Nature », montre que l’analyse montre que l’espérance de vie des anciens s’est arrêtée depuis 1990.

En clair, les anciens meurent à des âges normaux, donc plus jeunes.

Exploits et difficultés

Pourtant, l’étude effectuée sur l’espérance de vie n’a pas cessé de connaitre des évolutions. Car grâce à elle, l’espérance de vie a connu une évolution dans les quarante pays où l’étude est menée. Dans ces pays, les anciens ne peuvent dépasser les 100 ans.

Il faut dire que l’espérance de vie et la longévité sont deux notions différentes. En fait, l’espérance de vie concerne une population indiquée alors que la longévité concerne une espèce.

« Grâce aux données démographiques on voit qu’il ya une évolution non négligeable dans le travail qui a été faite pour améliorer la vie et baisser la mortalité des vieux » explique des chercheurs. Mais ces résultats montrent aussi que l’espérance de vie ne peut dépasser un certain seuil ce qui veut dire que la durée de vie à ses limites due à des conditions naturelles.

Ces limitations biologiques proviennent surtout de la génétique. «  Le vieillissement est le substitut du programme génétique et du développement normal » déchiffrent-ils. Mais on ne peut l’améliorer sur la base de l’aspect santé. On évoque souvent l’espérance de vie non seulement pour arriver à la vieillesse, mais aussi parce qu’il s’agit d’une notion basée sur des chiffres provenant de la méthode des probabilités. L’espérance mathématique d’une variable aléatoire est une valeur qu’il sera possible d’obtenir en refaisant plusieurs expériences aléatoires pour lesquelles, l’espérance représente la moyenne pondérée.

Christian Huygens avait été le premier à mettre en œuvre cette notion et à l’utiliser dans l’espérance de vie.